Desperation Land
Ponyo, Ponyo. J'ai cette chanson qui me traine dans la tête depuis hier soir. Parce que, encore une fois je suis allée au cinéma sur un coup de tête avec Marine, et Amira (qui n'était pas prête et a donc improvisé). J'ai proposé à Marine "Chérie" et donc "Ponyo sur la falaise". Amira a approuvé "Ponyo" parce qu'elle et les dessins animées c'est le grand amour et que comme moi elle avait adoré "Princesse Mononoké" du grand Miyasaki.
Ponyo, c'est un conte. C'est une sucrerie, je dirais même un bonbon arlequin, à la fois doux pour ces dessins arrondis, et enfantins puis cet amour qui est toujours présent chez Miyasaki et acidulé pour le fond de l'histoire avec sa morale discrète sur le malaise que provoque la pollution, notamment avec un petit aperçu de Tsunami.
Ponyo c'est de la magie, c'est un retour en enfance tout en ayant un pied ancré dans le monde adulte. Je regarde moins souvent de dessins-animés mais ça ne m'empêche pas de rester scotchée devant ce genre de petite merveille.
<3<3
Et puis une petite parenthèse pour dire que je suis très très fière de Lunelle qui à réussit à surmonter son angoisse sinophobique.